Les membres du cabinet du chef de l’Etat formés sur les mesures anti-corruption

Lutte contre la corruption

10 septembre 2023
lutte contre la corruption

Le Directeur de cabinet du Chef de l'Etat, le Représentant résident du PNUD, le Coordonateur de la Cellule d’innovations et de changement des mentalités et l’Agence de prévention et de lutte contre la corruption

Présidence de la république

Le Programme des Nations Unies pour le Développement soutient la lutte anti-corruption au sein du Cabinet du Chef de l’État, à travers un plan d'action initié par la Coordination pour l'Innovation et le Changement des Mentalités ainsi que l'Agence de Prévention et de Lutte contre la Corruption.
Les cadres et les agents du cabinet du chef de l’Etat ont suivi, au cours d’un atelier de renforcement des capacités, des sessions de formation sur les valeurs et les mesures anticorruption au sein de la Présidence de la république. Une initiative de la Cellule d’innovations et de changement des mentalités (CICM) en collaboration avec le cabinet du Chef de l’Etat et l’Agence de prévention et de lutte contre la corruption (APLC), toutes trois structures rattachées à la Présidence de la République.
 

Cette formation avait pour objectifs d’une part de contribuer au renforcement du respect des valeurs et de la lutte anticorruption au sein des institutions de la république ; de renforcer les capacités individuelles et collectives à respecter les lois, les règles et les principes. D’autres parts  de développer les compétences diagnostiques de corruption et d’intégrer et d’élaborer un plan anti-corruption à la Présidence de la République. Ces assises s’inscrivent dans le cadre d’un dispositif de prévention des risques de la corruption par le renforcement des capacités, par le changement de comportement et des mentalités.
 

Lutte contre la corruption

Damien Mama, rappelle la nécessité de lutter contre la corruption pour assurer le développement durable

Présidence de la république

Le Représentant résident du PNUD a souligné dans son allocution : « Ces assises sont donc pour nous, un rendez-vous (…), afin de nous remettre en question car, le Congo de demain dépend de ce que nous en faisons aujourd’hui. L’idéal du bien-être collectif auquel nous sommes tous engagés de part de nos fonctions respectives n’est pas hors de la portée » Et d’ajouter  « Il suffit pour nous, à l’aide des équipements éthique et moral qui sont mis à l’occasion de ce séminaire de décider de changer pour créer un Congo nouveau où la croissance économique sera équitablement partagée entre tous, mieux pour la vision du chef de l’Etat dont la mérite est déjà palpable sera encore mieux matérialiser pour le plus grand la mieux de nos frères et sœurs congolais ayant le même droit que nous sur le patrimoine commun qui est la République démocratique du Congo ».
 

Lutte contre la corruption

Le Directeur de cabinet du Chef a lancé les travaux

Présidence de la république

Le Directeur de cabinet du chef de l’Etat, Guylain Nyembo, a pour sa part rappelé aux participants l’importance et la considération qu’accorde le Chef de l’Etat vis-à-vis de ces assises. « Cette activité révèle une grande importance aux yeux du président de la république Félix-Antoine Tshisekedi, notamment, en ce qui a trait à la dynamique du changement et de progrès multidimensionnel que nous avons collectivement le devoir d’imprimer et qui l’aurait bien voulu présidé ce matin ni était ses obligations à l’étranger. En effet, le problème des changements des mentalités, de la lutte contre la corruption et de la bonne gouvernance ont toujours été au cœur de son combat pour l’avènement d’un véritable état de droit respectueux du principe fondamental de l’alternance et de tout principe socialement édictées », a-t-il déclaré.

Lutte contre la corruption

M. Thierry Mbulamoko, coordonnateur de l’APLC rappelle la mission de sa structure

Présidence de la république

M. Thierry Mbulamoko, coordonnateur de l’APLC a, pour sa part, souligné que ce cadre est un lieu propice qui permet aux uns et aux autres « d’échanger en toute franchise. Ces deux jours de formation s’inscrivent donc dans la mission de prévention des risques de corruption par le renforcement des capacités, par le changement de comportement et des mentalités. C’est notre contribution à la promotion de la lutte contre la corruption des valeurs éthiques à communiquer de bonnes pratiques au sein du cabinet du Président de la République. C’est aussi une occasion propice pour nous de retrouver et d’échanger en toute franchise, faire le bilan et le cas échéant rectifier le tir », a souligné Thierry Mbulamoko.