Une retraite annuelle dynamique pour renforcer l'impact et impulser la transformation

29 avril 2024

L'équipe du PNUD Burundi lors de la Retraite du bureau 2024

©UNDP Burundi/NINTERETSE Daniella, 2024

Par NINTERETSE Daniella

 

Le Bureau Pays du Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) au Burundi a marqué le début d'une nouvelle ère en cette année 2024 avec son nouveau programme pays 2024-2027 et le cycle 7 des subventions du Fonds Mondial contre la Malaria, la Tuberculose et le VIH/SIDA. Pour concrétiser cette vision ambitieuse et renforcer son impact de ses contributions au  développement durable du Burundi, le PNUD a organisé une retraite annuelle pour son personnel du 24 au 27 avril 2024 dans la province de Ngozi.

Renouveler, renforcer et transformer

Cette retraite a été conçue comme un catalyseur de transformation, visant à renouveler l'engagement du personnel, à renforcer sa motivation et à impulser une culture de transformation au sein de l'organisation. L'objectif ultime était d'unir les forces et de développer des stratégies collectives pour atteindre des résultats tangibles et contribuer efficacement à la réalisation des Objectifs de Développement Durable (ODD) au Burundi.

Des sessions riches en information et en partage

La retraite a été rythmée par des sessions d'information et de discussions en plénières et en groupes, couplées à des activités de team building. Ces sessions ont permis au personnel de s'approprier les rouages du fonctionnement du bureau, de comprendre en profondeur les activités menées et leurs contributions aux ODD. Un accent particulier a été mis sur le renforcement de la communication et de l'esprit d'équipe, éléments essentiels pour une collaboration efficace et une cohésion organisationnelle.

Comprendre le contexte mondial pour mieux travailler.

Le contexte international, régional et sous-régional actuel présente des défis et des opportunités uniques pour le développement durable au Burundi. Conscient de cela, le PNUD a dédié une partie de la retraite à l'analyse de ces enjeux et à l'exploration de leur impact sur le pays. Cette démarche a rappelé les orientations stratégiques du PNUD et permis au personnel de mieux comprendre l'environnement dans lequel ils évoluent afin d'adapter leurs stratégies en conséquence.

Un appel à l'action et une Vision ambitieuse

Mme Violet Kenyana Kakyomya, Coordonnatrice Résidente du système des Nations Unies au Burundi, a, à travers sa communication a lancé un appel fort au personnel. Elle les a invités à "être effectifs dans leur approche tout en ayant des priorités claires pour chaque année du nouveau programme de coopération" et à "mutualiser les efforts avec les autres agences des Nations Unies et les partenaires au développement au Burundi".

Au terme des travaux, les personnels du PNUD ont renouvelé leur engagement aux valeurs des Nations Unies et du PNUD à travers une Charte d’engagement de Ngozi.

Cette retraite annuelle a été une expérience marquante qui a permis de : Renforcer l'engagement et la motivation du personnel, d’impulser une culture de transformation au sein de l'organisation, de développer des stratégies collectives pour atteindre les objectifs du programme pays, de renforcer la communication et l'esprit d'équipe, d’accroître la compréhension du contexte international, régional et sous-régional et réaffirmer le rôle crucial du PNUD dans le développement durable au Burundi. Elle a été un succès retentissant, insufflant une nouvelle énergie et une motivation renouvelée au sein du personnel. Les participants ont quitté la retraite avec un sentiment d'unité et de détermination, prêts à relever les défis et à contribuer à la transformation du Burundi.

Dans son discours de clôture, Mathieu Ciowela, Représentant Résident du PNUD Burundi, a réitéré l'importance de l'unité, de la solidarité et de l'engagement du personnel. Il a souligné la nécessité de travailler en équipe pour renforcer le positionnement du PNUD comme partenaire de choix pour le développement durable au Burundi et un acteur clé dans la réalisation de la vision transformationnelle du pays, qui aspire à devenir un pays émergent en 2040 et un pays développé en 2060.