20 janv. 2017
par
Izumi Nakamitsu, Administratrice adjointe du PNUD et Responsable du Groupe de réponse aux crises
L'ONU et ses partenaires ont commencé à «combler le fossé» entre acteurs humanitaires, de développement et de consolidation de la paix. Photo: PNUD aux Phillipines
Malgré les horreurs de 2016, en Syrie, au Yémen, dans le bassin du Lac Tchad et dans beaucoup d'autres endroits, je continue d'espérer que la communauté internationale saura honorer la promesse faite au Sommet humanitaire mondial de changer la manière dont elle travaille. En 2016, j'ai participé à plusieurs sommets historiques, j'ai vu de nouveaux intervenants proposer des solutions novatrices, j'ai entendu le nouveau Secrétaire général de l'ONU, António Guterres, s'engager à trouver de nouveaux moyens d’aider les populations vulnérables à remonter la pente le plus rapidement possible et à être prêtes à affronter de nouvelles menaces, tout en réduisant les risques. Le message prononcé en 2016 était clair : Nous devons tous travailler différemment, aussi bien l'ONU que la société civile, le secteur privé et les gouvernements. …
Voir